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Tataouine | ||
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Administration | ||
Pays | ![]() | |
Gouvernorat | Tataouine | |
Délégation(s) | Tataouine Nord Tataouine Sud | |
Maire | Ali Mourou[1] | |
Code postal | 3200 | |
Démographie | ||
Gentilé | Tataouinois | |
Population | 59 346 hab. (2004[2]) | |
Densité | 1 413 hab./km2 | |
Géographie | ||
Coordonnées | ||
Superficie | 4 200 ha = 42 km2 | |
Localisation | ||
Liens | ||
Site de la ville | Municipalité de Tataouine |
Tataouine (تطاوين), anciennement appelée Foum Tataouine, est une ville du sud-est de la Tunisie située à 531 kilomètres de Tunis.
Chef-lieu du gouvernorat du même nom, elle constitue une municipalité comptant 59 346 habitants en 2004[2].
Sommaire[masquer] |
Histoire[modifier]
L'oasis de Tataouine est d'abord un simple relais sur la route des caravanes entre Gabès d'une part et le Fezzan et le Soudan d'autre part[3]. Connue comme la « porte du désert », son nom signifie « source d'eau » en berbère : tittawen est en effet le pluriel du vocable berbère tît qui signifie « source », le terme Foum qui lui était adjoint signifiant « bouche » en arabe[4].
Emplacements des ruines situées aux environs de Tatahouine (1901) :
1 Castellum romain de Ras Oued el Gordab (Ghomrassen)
2 Ruines d'un établissement agricole (Merabtine)
3 Castellum romain de Ras El Aïn (Talalati)
4 Vestiges d'une petite agglomération
5 Tombeau
6 Ruine d'une ferme
1 Castellum romain de Ras Oued el Gordab (Ghomrassen)
2 Ruines d'un établissement agricole (Merabtine)
3 Castellum romain de Ras El Aïn (Talalati)
4 Vestiges d'une petite agglomération
5 Tombeau
6 Ruine d'une ferme
Le site est environné de stations du Limes Tripolitanus ou de Castra et se situe à l'est du camp romain de Talalati (Ras El Aïn Tlalet), proche de la voie romaine nord-sud allant de Gigthis (Boughrara) à Tillibari (Remada)[7]. En 1903, sur la base de l'Itinéraire d'Antonin (75, 3), Jules Toutain suppose qu'une station nommée Tabalati est localisée à Tataouine[8], mais aucune donnée archéologique n'a confirmé cette hypothèse, comprise plutôt comme un doublet de Talalati[9], qui n'est que rarement reprise depuis[10].
Peu après l'institution du protectorat, les Français y installent en 1888 un bureau de renseignement militaire[3], remplaçant le centre de Douiret jugé trop à l'écart pour contrôler les tribus des Ouderna qui se groupent traditionnellement autour de deux grands centres névralgiques du pays des ksours : l'un économique autour du village de Béni Barka (marché) et l'autre spirituel représenté par le sanctuaire de Sidi Abdallah Boujlida, marabout vénéré par toute la confédération des Ouerghemma. À 500 mètres du camp militaire, le souk construit par les Français ouvre en 1892 ; il compte plus d'une centaine de boutiques tenues par des commerçants originaires de Gabès et surtout de Djerba, dont de nombreux Juifs[11], probablement issus de Hara Sghira. Le sous-officier Dimier, de passage à Tataouine, le décrit ainsi :
La ville se dote ensuite d'une mosquée (1898) pourvue ultérieurement d'un minaret (1903), d'un abattoir municipal (1911), d'un bureau de poste (1913), d'une infirmerie-dispensaire (1914), d'une école primaire (1916) et d'un tribunal. Elle possède aussi une église construite pendant la Première Guerre mondiale[13] et une synagogue. Le bâtiment qui fait la célébrité de Tataouine est le bagne militaire de l'armée française qu'elle abrite jusqu'en 1938, année de l'abolition des bagnes en France. Il accueille des Bat’ d'Af’, dont les recrues étaient des condamnés de droit commun ou des soldats punis pour indiscipline ; les conditions de détention avaient la réputation d'être très rudes. Cet ancien bagne a été remplacé par une caserne de l'armée tunisienne.
Économie[modifier]
Plaque tournante du tourisme dans le sud du pays, cette ville animée constitue une étape importante dans la visite du Sud tunisien. Mais la ville est surtout réputée pour la multitude des ksour qui l'entourent et remontent au XVe ou XVIe siècle : les plus célèbres demeurent Ksar Ouled Soltane, Ksar Hadada et Ksar Ouled Debbab. Les villages berbères situés aux sommets des collines environnantes, tels que Chenini, Douiret, Guermessa et Ghomrassen, et les habitations troglodytiques, participent également au charme de la région.Malgré un tourisme saharien dynamique, la ville conserve son identité et son architecture traditionnelle[14]. Son souk bihebdomadaire du lundi et du jeudi est l'un des plus pittoresques de Tunisie. La ville de Tataouine organise annuellement le Festival international des ksour sahariens au mois de mars.
- Groupe de joueurs de tambours et de zokras à l'occasion du Festival international des ksour sahariens
Culture populaire[modifier]
Culture d'expression française[modifier]
L'expression populaire « aller à Tataouine » ou « aller à Tataouine-les-Bains » signifie aller se perdre au bout du monde. Cette expression provient de la présence du bagne et l'ajout du suffixe « les-Bains » désigne un lieu isolé quelconque, loin de la métropole. Ici, le terme est d'autant plus ironique au vu du caractère désertique du lieu en question.La variante populaire québécoise du verbe « tataouiner » signifie « manquer de célérité », ou de façon plus figurative, « tergiverser inutilement ».
Culture internationale[modifier]
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internationale[modifier]
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Gouvernorat de Tataouine
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Tataouine | |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Date de création | 2 mars 1981 |
Délégations | Bir Lahmar Dehiba Ghomrassen Remada Smâr Tataouine Nord Tataouine Sud |
Gouverneur | Mourad Achour (2012) |
Économie | |
Activités économiques | agriculture |
Démographie | |
Population | 148 000 hab. (2011) |
Densité | 4 hab./km2 |
Géographie | |
Superficie | 38 889 km2 |
Sommaire[masquer] |
Géographie[modifier]
Situé à 500 kilomètres de la capitale, il est limité par les gouvernorats de Kébili et Médenine au nord, par la Libye à l'est et par l'Algérie à l'ouest.La température moyenne y est de 22 °C et la pluviométrie annuelle varie entre 88 et 157 millimètres[1].
Administrativement, le gouvernorat est découpé en sept délégations, cinq municipalités, cinq conseils ruraux et 64 imadas[1]. Remada est la plus grande des délégations de Tunisie en termes de superficie.
Délégation | Population en 2004 (habitants) |
---|---|
Bir Lahmar | 9 270 |
Dehiba | 3 971 |
Ghomrassen | 18 335 |
Remada | 9 977 |
Smâr | 13 826 |
Tataouine Nord | 54 362 |
Tataouine Sud | 33 783 |
Sources : Institut national de la statistique[3] |
Histoire[modifier]
La région de Tataouine connaît durant son histoire la succession et le brassage de plusieurs civilisations dont notamment les civilisations puniques, romaines, berbères et enfin arabo-musulmane.Les Arabes venant de l'Orient se sont installés dans les plaines proches des puits pour exercer leurs activités agricoles et ont construit par la suite les ksour sur les montagnes pour y conserver les produits de leurs récoltes.
En 1903, on enregistre le regroupement de plusieurs tribus qui étaient jusque-là de simples nomades pour constituer le noyau de l'actuelle ville de Tataouine (dont le nom signifie en berbère « source d'eau »)[1].
Politique[modifier]
Le gouvernorat de Tataouine est dirigé par un gouverneur dont la liste depuis l'indépendance est la suivante :
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Économie[modifier]
L'économie de la région est fondée sur l'agriculture. En effet, doté d'une importante superficie agricole (200 000 hectares), la région est dominée par les oliviers, les légumineuses, les primeurs et l'asperge qui est destiné à l'exportation ainsi que la production de viande rouge et de lait.Le secteur industriel est en voie de développement. Le gouvernorat compte quinze entreprises industrielles opérant essentiellement dans les industries des matériaux de construction et de l'agroalimentaire ainsi que trois entreprises industrielles étrangères ou à capital mixte à la cité 7-Novembre qui s'étend sur 8,5 hectares. Une nouvelle zone industrielle d'une superficie de vingt hectares est programmée.
La zone désertique au sud du gouvernorat compte de nombreux champs pétrolifères : le plus ancien, El Borma, a été développé à partir de 1965. Suite à des découvertes récentes dans la région de Oued Zar, la région connaît une forte activité de prospection pétrolière. Le développement de nouveaux champs vient en partie compenser l'épuisement des réserves des gisements les plus anciens : le champ d'El-Borma, qui produisait quatre millions de barils par an en 1970 n'en produit plus que 600 000[4]. Ces dernières années, la région connaît un développement remarquable du tourisme saharien et ce grâce à l'existence de sites géologiques, des ksours sahariens, des villages berbères ainsi que des oasis qui font le charme et la spécificité du Sahara tunisien.
Cinéma[modifier]
George Lucas filme plusieurs séquences de la saga de Star Wars, en 1977, et de sa suite, à la fin des années 1990, dans la région. Il s'installe pour cela à Tataouine, Ksar Hadada, dans la région de Matmata et dans les étendues salées du Chott el-Jérid.Radio[modifier]
Sport[modifier]
- Union sportive de Tataouine
- Espoir sportif Rogba Tataouine
Notes et références[modifier]
- (fr) Présentation du gouvernorat de Tataouine (Portail de l'industrie tunisienne) [archive]
- (fr) Estimation de 2011 (Institut national de la statistique) [archive]
- (fr) Recensement de 2004 (Institut national de la statistique) [archive]
- (en) Production nationale de pétrole entre 1966 et 2006 (Entreprise tunisienne d'activités pétrolières) [archive]
Catégorie :
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La commune de Bir-Lahmar
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La commune de Bir-Lahmar
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Bir Lahmar
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Bir Lahmar
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Démographie
Population 8 418 hab. (2004[1])
Géographie
Coordonnées
Localisation
Bir Lahmar (بئر الأحمر) est une ville du sud de la Tunisie située à quinze kilomètres au nord de Médenine et trente kilomètres au sud de Tataouine. Elle est entourée par les montagnes du Djebel Dahar à l'ouest et la plaine littorale de la Djeffara à l'est.
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 8 418 habitants en 2004[1].
Comme son nom l'indique (« puits rouge » en arabe), la ville s'est développée autour d'une source d'eau, élément précieux dans une région désertique traditionnellement parcourue par les caravanes.
Références[modifier]
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La Commune de Dehiba(Municipalité)
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Dehiba
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Dehiba
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Délégation(s) Dehiba
Code postal 3253
Démographie
Population 3 971 hab. (2004[1])
Géographie
Coordonnées
Localisation
Dehiba (الذهيبة) est une ville du sud de la Tunisie, située à proximité de la frontière tuniso-libyenne et à 130 kilomètres de Tataouine.
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 3 971 habitants en 2004[1].
Dans le contexte de la Guerre civile libyenne de 2011, des forces favorables au colonel Mouammar Kadhafi tirent le 29 avril des obus sur la ville à partir du territoire libyen, endommageant des bâtiments et faisant au moins une blessée[2]. Dans le même temps, l'un de leurs véhicules entre dans la ville pour poursuivre un groupe d'insurgés, des milliers d'entre eux ayant fui dans les jours précédents vers la Tunisie, via Dehiba[2].
Références[modifier]
- (fr) Recensement de 2004 (Institut national de la statistique) [archive]
- Zoubeïr Souissi, « Incident entre troupes tunisiennes et kadhafistes à la frontière », Reuters, 29 avril 2011
Voir aussi[modifier]
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La Commune de Ghomrassaen( Municipalité)
Ghomrassen
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Ghomrassen
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Délégation(s) Ghomrassen
Code postal 3220
Démographie
Gentilé Ghomrassni
Population 11 383 hab. (2004[1])
Géographie
Coordonnées
Altitude 352 m
Localisation
Ghomrassen (غمراسن) est une ville du sud-est de la Tunisie située à 16 kilomètres de Tataouine[2] et à 40 kilomètres de Médenine.
Rattachée administrativement au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité de 11 383 habitants[1]. Elle est aussi le chef-lieu de la délégation du même nom qui compte 18 335 habitants[3] et rassemble, outre la ville de Ghomrassen, les villages de Ksar Hadada, Elferch, Elhorria, Ksar Elmorabitin et Guermassa.
Sommaire
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Étymologie[modifier]
Cette section ne cite pas suffisamment ses sources. Merci d’ajouter en note des références vérifiables ou le modèle {{Référence souhaitée}}.
Son nom viendrait des termes tifinagh ghom signifiant « tribu » et sen signifiant « chef »[4].
Un mythe raconté par les habitants de Ghomrassen indique que le nom de la ville viendrait de deux mots, Ghom Rassi (نغم راسي), prononcé par l'un des sept frères venus de la région de Seguia el-Hamra (nord du Sahara occidental) au XVe siècle pour peupler le sud-est de la Tunisie et issus de la confédération de Werguemma (كنفدرالية ورغمة). Ce frère se serait installé à l'emplacement de la future Ghomrassen qu'il a fondé par la suite tandis que ses frères se sont dispersés dans le sud-est du pays pour constituer les principaux groupes des habitants de la région : Wederni (الودرني) et Jlidi (الجليدي) ont fondé Tataouine, Touzni (التوزني) Médenine et Ben Gardane, Houioui (الحويوي) Beni Khedache et Khzouli (الخزولي) Oum Ettemr. Enfin, Tarhouni (الترهوني) est parti en Libye et il a fondé la ville de Tarhounah.
Géographie[modifier]
La ville, située à près de 500 kilomètres au sud de la capitale Tunis et entourée de montagnes, est construite à l'emplacement d'une ancienne oasis. La majeure partie des puits d'irrigation, ainsi que l'oasis, ont disparu avec le développement urbanistique de la ville.
La température moyenne y est de 22 °C et la pluviométrie annuelle varie entre 88 et 157 millimètres.
Administrativement, la ville est divisée en plusieurs secteurs ou imadas, dont l'autorité est incarnée par le omda, qui peuvent être aussi bien urbains que ruraux.
La ville est décomposée en plusieurs quartiers : Ennasr, où se trouve le nouvel hôpital, une école primaire et une mosquée parfois considérée comme la plus luxieuse de la ville, Ennakhil, le quartier où se trouve le Lycée du 2 mars 1934 ainsi qu'une mosquée, El Anouar, un quartier résidentiel situé au nord de la ville, et El Jadid.
Histoire[modifier]
À proximité de Ghomrassen, on peut toujours observer des traces préhistoriques dans des grottes ornées de peintures rupestres datant du Néolithique.
Dans cette région de Tataouine, traversée par le Limes Tripolitanus[5], de nombreux vestiges de l'occupation romaine sont encore visibles.
On remarquera particulièrement ceux du camp de Talalati (Ras El Aïn Tlalet), au sud, ou du fort de Ras El Oued Gordab[6], au nord-est.
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Enfin, des fossiles de dinosaures ont été mis au jour dans les environs de la ville.
Économie[modifier]
L'économie de la ville est basée sur l'agriculture et les apports financiers des immigrants.
Dotée d'une importante superficie agricole, la région est riche en oliviers, en cultures potagères, en particulier celle de l'asperge destinée à l'exportation, ainsi qu'en production de viande rouge et de lait. Par ailleurs, la majeure partie des habitants travaillent en dehors de la région, notamment au nord de la Tunisie, en France, au Canada mais aussi en Allemagne, en Italie, aux États-Unis ou au Moyen-Orient. Leur apport en devises (spécialement en euros) constitue une bonne partie du capital destiné au développement économique de la ville (spécialement sur le marché immobilier).
La confection de beignets appelés f'taier ainsi que plusieurs autres pâtisseries (makroud, zlabia, youyou, m'kharak, etc.) sont la spécialité des habitants de Ghomrassen. Ce métier de ftayri (الفطائري) est pratiqué depuis des siècles à travers la Tunisie voire le monde entier. Même les célèbres gâteaux au miel de Béja (zlabia) ont été introduits et fabriqués dans la ville par les habitants originaires de Ghomrassen qui y ont ajouté des spécificités et des produits de la ville de Béja (ajout du beurre rance appelé smen) et servi dans de petits pots en terre cuite pour en faire les beignets les plus célèbres de Tunisie.
Culture populaire[modifier]
La ville est également connue à travers le monde entier pour son nom qui inspira le réalisateur de cinéma George Lucas dans le choix du nom de l'une des trois lunes de la planète de Luke Skywalker dans Star Wars. Il tourna aussi des scènes du film Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir dans la région.
Références[modifier]
- (fr) Recensement de 2004 au niveau des municipalités (Institut national de la statistique) [archive]
- Délégation de Ghomrassen, éd. Ministère de l'intérieur de la République tunisienne, Tunis, 2004, p. 24
- (fr) Recensement de 2004 au niveau des délégations (Institut national de la statistique) [archive]
- Jean-Paul Labourdette et Dominique Auzias, Le petit futé Tunisie, Petit Futé, 2010 (ISBN 9782746927230), p. 419
- Pol Trousset, Recherches sur le Limes tripolitanus : du Chott el-Djerid à la frontière tuniso-libyenne, éd. CNRS, Paris, 1974, pp. 103-104 (Ras el-Oued Gordab)
- Lieutenant Moreau, « Le castellum romain de Ras-Oued-el-Gordab, près de Ghoumrassen », Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, Paris, 1904, pp. 369-376 [archive]
La commune de Remada
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Remada
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Remada
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Délégation(s) Remada
Code postal 3240
Démographie
Population 4 606 hab. (2004[1])
Géographie
Coordonnées
Localisation
Remada (رمادة) est la ville la plus méridionale de Tunisie (609 kilomètres au sud de Tunis) car située à la limite orientale du Grand Erg Oriental (78 kilomètres au sud de Tataouine)
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 4 606 habitants en 2004[1] et se trouve être le chef-lieu de la délégation du même nom.
Pendant la Première Guerre mondiale, les Français occupent la ville et y construisent des maisons pour leurs soldats.
Références[modifier]
Catégories :
La délégation de Smâr
Smâr (délégation)
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Délégation de Smâr
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Chef-lieu Smâr
Démographie
Population 13 826 hab. (2004[1])
Smâr est une délégation tunisienne dépendant du gouvernorat de Tataouine.
En 2004, elle compte 13 826 habitants dont 6 436 hommes et 7 390 femmes répartis dans 2 493 ménages et 2 948 logements[1].
Références[modifier]
La Délégation de Tataouine Sud
Tataouine Sud (délégation)
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Délégation de Tataouine Sud
Administration
Pays
Tunisie
Gouvernorat Tataouine
Chef-lieu Tataouine
Démographie
Population 33 783 hab. (2004[1])
Tataouine Sud est une délégation tunisienne dépendant du gouvernorat de Tataouine.
En 2004, elle compte 33 783 habitants dont 16 411 hommes et 17 372 femmes répartis dans 6 071 ménages et 7 797 logements[1].
Références[modifier]
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Bir Lahmar | ||
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Administration | ||
Pays | ![]() | |
Gouvernorat | Tataouine | |
Démographie | ||
Population | 8 418 hab. (2004[1]) | |
Géographie | ||
Coordonnées | ||
Localisation | ||
Bir Lahmar (بئر الأحمر) est une ville du sud de la Tunisie située à quinze kilomètres au nord de Médenine et trente kilomètres au sud de Tataouine. Elle est entourée par les montagnes du Djebel Dahar à l'ouest et la plaine littorale de la Djeffara à l'est.
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 8 418 habitants en 2004[1].
Comme son nom l'indique (« puits rouge » en arabe), la ville s'est développée autour d'une source d'eau, élément précieux dans une région désertique traditionnellement parcourue par les caravanes.
Références[modifier]
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La Commune de Dehiba(Municipalité)
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Dehiba (الذهيبة) est une ville du sud de la Tunisie, située à proximité de la frontière tuniso-libyenne et à 130 kilomètres de Tataouine.
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 3 971 habitants en 2004[1].
Dans le contexte de la Guerre civile libyenne de 2011, des forces favorables au colonel Mouammar Kadhafi tirent le 29 avril des obus sur la ville à partir du territoire libyen, endommageant des bâtiments et faisant au moins une blessée[2]. Dans le même temps, l'un de leurs véhicules entre dans la ville pour poursuivre un groupe d'insurgés, des milliers d'entre eux ayant fui dans les jours précédents vers la Tunisie, via Dehiba[2].
(La Commune de Dehiba(Municipalité)
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Dehiba
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Dehiba | ||
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Administration | ||
Pays | ![]() | |
Gouvernorat | Tataouine | |
Délégation(s) | Dehiba | |
Code postal | 3253 | |
Démographie | ||
Population | 3 971 hab. (2004[1]) | |
Géographie | ||
Coordonnées | ||
Localisation | ||
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 3 971 habitants en 2004[1].
Dans le contexte de la Guerre civile libyenne de 2011, des forces favorables au colonel Mouammar Kadhafi tirent le 29 avril des obus sur la ville à partir du territoire libyen, endommageant des bâtiments et faisant au moins une blessée[2]. Dans le même temps, l'un de leurs véhicules entre dans la ville pour poursuivre un groupe d'insurgés, des milliers d'entre eux ayant fui dans les jours précédents vers la Tunisie, via Dehiba[2].
Références[modifier]
- (fr) Recensement de 2004 (Institut national de la statistique) [archive]
- Zoubeïr Souissi, « Incident entre troupes tunisiennes et kadhafistes à la frontière », Reuters, 29 avril 2011
Voir aussi[modifier]
La Commune de Ghomrassaen( Municipalité)
Ghomrassen
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Ghomrassen | ||
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Gouvernorat | Tataouine | |
Délégation(s) | Ghomrassen | |
Code postal | 3220 | |
Démographie | ||
Gentilé | Ghomrassni | |
Population | 11 383 hab. (2004[1]) | |
Géographie | ||
Coordonnées | ||
Altitude | 352 m | |
Localisation | ||
Rattachée administrativement au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité de 11 383 habitants[1]. Elle est aussi le chef-lieu de la délégation du même nom qui compte 18 335 habitants[3] et rassemble, outre la ville de Ghomrassen, les villages de Ksar Hadada, Elferch, Elhorria, Ksar Elmorabitin et Guermassa.
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Étymologie[modifier]
Cette section ne cite pas suffisamment ses sources. Merci d’ajouter en note des références vérifiables ou le modèle {{Référence souhaitée}}.
Son nom viendrait des termes tifinagh ghom signifiant « tribu » et sen signifiant « chef »[4].Un mythe raconté par les habitants de Ghomrassen indique que le nom de la ville viendrait de deux mots, Ghom Rassi (نغم راسي), prononcé par l'un des sept frères venus de la région de Seguia el-Hamra (nord du Sahara occidental) au XVe siècle pour peupler le sud-est de la Tunisie et issus de la confédération de Werguemma (كنفدرالية ورغمة). Ce frère se serait installé à l'emplacement de la future Ghomrassen qu'il a fondé par la suite tandis que ses frères se sont dispersés dans le sud-est du pays pour constituer les principaux groupes des habitants de la région : Wederni (الودرني) et Jlidi (الجليدي) ont fondé Tataouine, Touzni (التوزني) Médenine et Ben Gardane, Houioui (الحويوي) Beni Khedache et Khzouli (الخزولي) Oum Ettemr. Enfin, Tarhouni (الترهوني) est parti en Libye et il a fondé la ville de Tarhounah.
Géographie[modifier]
La ville, située à près de 500 kilomètres au sud de la capitale Tunis et entourée de montagnes, est construite à l'emplacement d'une ancienne oasis. La majeure partie des puits d'irrigation, ainsi que l'oasis, ont disparu avec le développement urbanistique de la ville.La température moyenne y est de 22 °C et la pluviométrie annuelle varie entre 88 et 157 millimètres.
Administrativement, la ville est divisée en plusieurs secteurs ou imadas, dont l'autorité est incarnée par le omda, qui peuvent être aussi bien urbains que ruraux.
La ville est décomposée en plusieurs quartiers : Ennasr, où se trouve le nouvel hôpital, une école primaire et une mosquée parfois considérée comme la plus luxieuse de la ville, Ennakhil, le quartier où se trouve le Lycée du 2 mars 1934 ainsi qu'une mosquée, El Anouar, un quartier résidentiel situé au nord de la ville, et El Jadid.
Histoire[modifier]
À proximité de Ghomrassen, on peut toujours observer des traces préhistoriques dans des grottes ornées de peintures rupestres datant du Néolithique.Dans cette région de Tataouine, traversée par le Limes Tripolitanus[5], de nombreux vestiges de l'occupation romaine sont encore visibles.
On remarquera particulièrement ceux du camp de Talalati (Ras El Aïn Tlalet), au sud, ou du fort de Ras El Oued Gordab[6], au nord-est.
Économie[modifier]
L'économie de la ville est basée sur l'agriculture et les apports financiers des immigrants.Dotée d'une importante superficie agricole, la région est riche en oliviers, en cultures potagères, en particulier celle de l'asperge destinée à l'exportation, ainsi qu'en production de viande rouge et de lait. Par ailleurs, la majeure partie des habitants travaillent en dehors de la région, notamment au nord de la Tunisie, en France, au Canada mais aussi en Allemagne, en Italie, aux États-Unis ou au Moyen-Orient. Leur apport en devises (spécialement en euros) constitue une bonne partie du capital destiné au développement économique de la ville (spécialement sur le marché immobilier).
La confection de beignets appelés f'taier ainsi que plusieurs autres pâtisseries (makroud, zlabia, youyou, m'kharak, etc.) sont la spécialité des habitants de Ghomrassen. Ce métier de ftayri (الفطائري) est pratiqué depuis des siècles à travers la Tunisie voire le monde entier. Même les célèbres gâteaux au miel de Béja (zlabia) ont été introduits et fabriqués dans la ville par les habitants originaires de Ghomrassen qui y ont ajouté des spécificités et des produits de la ville de Béja (ajout du beurre rance appelé smen) et servi dans de petits pots en terre cuite pour en faire les beignets les plus célèbres de Tunisie.
Culture populaire[modifier]
La ville est également connue à travers le monde entier pour son nom qui inspira le réalisateur de cinéma George Lucas dans le choix du nom de l'une des trois lunes de la planète de Luke Skywalker dans Star Wars. Il tourna aussi des scènes du film Star Wars, épisode IV : Un nouvel espoir dans la région.Références[modifier]
- (fr) Recensement de 2004 au niveau des municipalités (Institut national de la statistique) [archive]
- Délégation de Ghomrassen, éd. Ministère de l'intérieur de la République tunisienne, Tunis, 2004, p. 24
- (fr) Recensement de 2004 au niveau des délégations (Institut national de la statistique) [archive]
- Jean-Paul Labourdette et Dominique Auzias, Le petit futé Tunisie, Petit Futé, 2010 (ISBN 9782746927230), p. 419
- Pol Trousset, Recherches sur le Limes tripolitanus : du Chott el-Djerid à la frontière tuniso-libyenne, éd. CNRS, Paris, 1974, pp. 103-104 (Ras el-Oued Gordab)
- Lieutenant Moreau, « Le castellum romain de Ras-Oued-el-Gordab, près de Ghoumrassen », Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, Paris, 1904, pp. 369-376 [archive]
carte) (
Remada
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|
Remada | ||
---|---|---|
Administration | ||
Pays | ![]() | |
Gouvernorat | Tataouine | |
Délégation(s) | Remada | |
Code postal | 3240 | |
Démographie | ||
Population | 4 606 hab. (2004[1]) | |
Géographie | ||
Coordonnées | ||
Localisation | ||
Rattachée au gouvernorat de Tataouine, elle constitue une municipalité comptant 4 606 habitants en 2004[1] et se trouve être le chef-lieu de la délégation du même nom.
Pendant la Première Guerre mondiale, les Français occupent la ville et y construisent des maisons pour leurs soldats.
Références[modifier]
Catégories :
La délégation de Smâr
Smâr est une délégation tunisienne dépendant du gouvernorat de Tataouine.
En 2004, elle compte 13 826 habitants dont 6 436 hommes et 7 390 femmes répartis dans 2 493 ménages et 2 948 logements[1].
La Délégation de Tataouine Sud
Tataouine Sud est une délégation tunisienne dépendant du gouvernorat de Tataouine.
En 2004, elle compte 33 783 habitants dont 16 411 hommes et 17 372 femmes répartis dans 6 071 ménages et 7 797 logements[1].
La délégation de Smâr
Smâr (délégation)
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![]() |
Cet article est une ébauche concernant la politique de la Tunisie.
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Délégation de Smâr | |
Administration | |
---|---|
Pays | ![]() |
Gouvernorat | Tataouine |
Chef-lieu | Smâr |
Démographie | |
Population | 13 826 hab. (2004[1]) |
En 2004, elle compte 13 826 habitants dont 6 436 hommes et 7 390 femmes répartis dans 2 493 ménages et 2 948 logements[1].
Références[modifier]
La Délégation de Tataouine Sud
Tataouine Sud (délégation)
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
![]() |
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Délégation de Tataouine Sud | |
Administration | |
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Pays | ![]() |
Gouvernorat | Tataouine |
Chef-lieu | Tataouine |
Démographie | |
Population | 33 783 hab. (2004[1]) |
En 2004, elle compte 33 783 habitants dont 16 411 hommes et 17 372 femmes répartis dans 6 071 ménages et 7 797 logements[1].
Références[modifier]
Babnet
Un serpent de plus de 8 m de long!
Mercredi 30 Novembre 2005
Un serpent de plus de 8 mètres de long a été découvert par l'armée tunisienne coincé au milieu des fils barbelés de la frontière tuniso-libyenne .
Selon Al Akhbar de Tunisie, ce gros serpent d'une tonne, avait déjà gobé 2 moutons lorsque
une patrouille de l’armée a été alertée par ses sifflets.
Le serpent s’est trouvé coincé dans les fils barbelés à cause de sa grosse taille.

Reader feedback:
Re: Your article on a Huge Snake found in the
Southern part of Tunisia
Dear Babnet honorable webmaster:
Reading your story on the this huge Python
caught by the Tunisian army somewhere along the Tunisian-libyan frontier just
caught my attention. Knowing that true Journalism requires investigation,
transparence and honesty.
I found myself obliged to give the following
corrections.
Looking at these pics which the tunisian
journalist claims are taken by a certain Mounir Baccar by his cell phone is
totally misleading.
I bet Mr. Baccar had a highly sophistacted
cellphone to take this very neat pics!.The first time I came across those pics
was via a libyan blogger: From the Rock (
http://lonehighlander.blogspot.com/2005/10/python-in-libya-as-far-as-i-know-this.html)
and her post dates back to october 12, 2005, whereas the tunisian newspaper
article is dated november, 2005. Second, a close scrutiny to the fence shows
that it is an elecrified one something rare or even non-existant in the area
mentioned. For those who would like to know the truth visit this link and you
will know that this Python and not anaconda is found somewhere else in Africa!http://www.snopes.com/photos/animals/fencesnake.asp
The following is another link about those pics. http://www.bushveld.co.za/pictures-python.htm
Sincerely,
A regular reader of Babnet
l'article comme paru sur Al Akhbar
Dans l'éditon du jeudi 1 decembre, le gouvernorat de Tataouine (sud de la Tunisie) a nié toute connaissance de cette histoire en priant le journal de vérifier l'authenticié de l'évenement avant publication.

*******************************
De la part de Bessem J:
Pour clore definitivement ce sujet :
-La photo a été prise en Afrique du sud
2-Le serpent sur la photo est un Rock python
3-le journaliste a bien menti

Selon Al Akhbar de Tunisie, ce gros serpent d'une tonne, avait déjà gobé 2 moutons lorsque

Le serpent s’est trouvé coincé dans les fils barbelés à cause de sa grosse taille.

Reader feedback:
Re: Your article on a Huge Snake found in the
Southern part of Tunisia
Dear Babnet honorable webmaster:
Reading your story on the this huge Python
caught by the Tunisian army somewhere along the Tunisian-libyan frontier just
caught my attention. Knowing that true Journalism requires investigation,
transparence and honesty.
I found myself obliged to give the following
corrections.
Looking at these pics which the tunisian
journalist claims are taken by a certain Mounir Baccar by his cell phone is
totally misleading.
I bet Mr. Baccar had a highly sophistacted
cellphone to take this very neat pics!.The first time I came across those pics
was via a libyan blogger: From the Rock (
http://lonehighlander.blogspot.com/2005/10/python-in-libya-as-far-as-i-know-this.html)
and her post dates back to october 12, 2005, whereas the tunisian newspaper
article is dated november, 2005. Second, a close scrutiny to the fence shows
that it is an elecrified one something rare or even non-existant in the area
mentioned. For those who would like to know the truth visit this link and you
will know that this Python and not anaconda is found somewhere else in Africa!http://www.snopes.com/photos/animals/fencesnake.asp
The following is another link about those pics. http://www.bushveld.co.za/pictures-python.htm
Sincerely,
A regular reader of Babnet
l'article comme paru sur Al Akhbar
Dans l'éditon du jeudi 1 decembre, le gouvernorat de Tataouine (sud de la Tunisie) a nié toute connaissance de cette histoire en priant le journal de vérifier l'authenticié de l'évenement avant publication.

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De la part de Bessem J:
Pour clore definitivement ce sujet :
-La photo a été prise en Afrique du sud
2-Le serpent sur la photo est un Rock python
3-le journaliste a bien menti

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